• LaTortueNoire

    Matthieu Maunier-Rossi

    Films, photos et récits

  • Trois machettes

    Une famille d'hommes dans le sud d'Haïti...

    Trois générations aux aspirations incompatibles...

    À la main ou à la ceinture, leurs machettes, qui les suivent et les définissent.

     

    " Tu la fermes et tu encaisses ! "

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    Avec Davidson Dupuy, Jordany Cothias & Norbert Alix

     

    Produit par Isabel Segovia & Stéphanie Dronne (Back in Town, 2019)

    En partenariat avec France 2, le CNC et la SACEM

    Écrit et réalisé par Matthieu Maunier-Rossi

    Direction de la photographie : Julien Jaunet
    Caméra : Raphaël Palin Sainte-Agathe
    Lumière & machinerie : Betty Toussaint - Sergot Charles
    Ingénieur du son : Mathieu Leroy
    Perchmen : Roudie Rigaud Marcellin - Bazelais Jeannis

    Adaptation & traductions : Alexandrine Benjamin - Ebby Angel Louis

    Assistante réalisation : Mathilde Marillier

    Casting : Jean-Rony César - Pierre Lucson Bellegarde

    Scripte : Angèle Pignon

    Direction artistique : Marie Mercie Andris

    Montage : Denis Camelin
    Retouches & générique : Sylvain Franchet
    Étalonneur : Ghislain Rio
    Montage son : Aloyse Launay
    Musique : Olivier Militon
    Affiche : Jeff Maunoury
    Production exécutive : Jako Media Haïti
    Producteur exécutif : Andrew Bigosinski
    Directeur de production Haïti : Huguens Saintil

     

     

     

    Meilleur réalisateur (1er prix) au Flickers' International film festival, à Providence (USA)

    Meilleur réalisateur + Meilleur film étranger au DC Black Film festival (Washington, USA)

    Meilleur court-métrage au Scandinavian International film festival, à Helsinki (FINLANDE)

    Meilleur film + Meilleur acteur (pour Davidson Dupuy) au Short to the point, à Bucarest (ROUMANIE)

    Rimbaud du court-métrage au festival Les Rimbaud du Cinéma, à Charleville-Mézières (FRANCE)

    Meilleur court-métrage dramatique au FICMARC Caribbean Sea film festival (VENEZUELA)

    Meilleur court-métrage dramatique au VeraShorts, à Veracruz (MEXIQUE)

    Meilleur court-métrage au AIMAFF Athens International Art festival, à Athènes (GRECE)

    Meilleur film de fiction au Clones film festival (IRLANDE)

    Prix du jury - Meilleur film au Fugitif film festival, à Avignon (FRANCE)

    BuSho d'argent au BuSho International film festival, à Budapest (HONGRIE)

    Meilleur acteur pour son premier rôle (pour Jordany Cothias) au PIFF, à Prague (REPUBLIQUE TCHEQUE)

    Prix de la sélection internationale au festival Prix de court (MARTINIQUE)

    Prix de la critique et des médias au festival Nouvelles Vues, à Port au Prince (HAITI)

    Meilleure direction de la photo au Yellow Fever film festival, à Bangor (IRLANDE DU NORD)

    Meilleur montage au Cult International film festival, à Mumbai (INDE)

    Mention spéciale du jury au International Black film festival, à Montréal (QUÉBEC)

    Mention spéciale du jury au BIFF Bahamas International film festival, à Nassau (BAHAMAS)

    Mention spéciale du jury + Mention spéciale pour le son au Cult International film festival, à Mumbai (INDE)

     

     

    Autres festivals : AFRIQUE DU SUD : Johannesburg (Jozi) ----- ALLEMAGNE : Karlsruhe (Independent Days) ----- ANGLETERRE : Carmarthen Bay ----- AUSTRALIE : Currumbin (In the Bin) ----- LA BARBADE : Bridgetown (Visual Media) ----- BRÉSIL : Rio (Curta Cinema - Panorama latino-américain) - Brasilia (Lobo) ----- CANADA : Toronto (Caribbean Tales) ----- COLOMBIE : Carthagène (FICCI, et FICCI Interruptus) - Bogotá (FECI film fair) - (Popayan (Muestra Afrocine) ----- EQUATEUR : Cuenca ----- ÉTATS-UNIS : Athens (AIFVF) - Atlanta (BronzeLens) - Billings (MINT) - Brooklyn (Nova Frontier) - Harlem (Francophone shorts) - Huntsville (Prison City) - Jacksonville - Los Angeles (CaribbeanLens) - Miami (Independent Film festival) - New York (Independent Film) - New York (African Diaspora) - New York (African film festival) - Nouvelle Orléans (Second Line) - Providence (Rhode Island Black Film festival) - Provincetown (Islands on film) - San Francisco (Another hole in the head) ----- FRANCE : Aubagne - Contis - Brest ----- HAÏTI : Cap Haïtien (OKAP festival) - Jacmel (Merisier Jeannis) - Jacmel (Lakou New York) ----- INDE : Jaipur (JIFF) ----- IRLANDE : Dublin (Underground film festival) ----- JAMAIQUE : Kingston (GATFFEST) ----- LA GRENADE : Saint George (12°N 61°W festival) ----- LA RÉUNION : Saint Denis (Court Derrière) ----- MEXIQUE : Oaxaca (New Industry) ----- NIGERIA : Bénin City (BCFF) ----- PARAGUAY : Ciudad del Este ----- POLOGNE : Varsovie ----- ROUMANIE : Bucarest (Short film factory) - Targu Mures (Rolling Ideas) ----- SUISSE : Soleure (Journées) ----- TRINIDAD : Port of Spain (TTFF) - Port of Spain (Green Screen) ----- URUGUAY : Montevideo (World film festival) ----- VENEZUELA : Puerto La Cruz (Findecoin)

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    La page Facebook du film, ici.

     

    Bonus : à la rubrique "Récits", vous trouverez le récit véridique

    d'une nuit mouvementée lors du tournage du film.

    Si vous avez le cœur bien accroché...

     

     

  • A lire également, un entretien pour la plate-forme Paper to Film. Extrait :

     

    Matthieu Maunier-Rossi : "Haïti me fascine profondément. J’y ai séjourné et travaillé plusieurs fois et pourtant le mystère reste intact. C’est comme une série de calques, posés devant les yeux : on en retire un à chaque voyage, mais tout reste encore très opaque. J’ai cette impression que peu importe le temps que je pourrai passer là-bas, la réalité des choses m’échappera toujours un peu.

     

    « Trois machettes » raconte une journée dans la vie d’une famille haïtienne, avec beaucoup d’enjeux : l’éducation, le travail, la vie au jour le jour, les carcans de la tradition… Je souhaitais montrer ce quotidien sans l’idéaliser ni le déprécier. Le film suit trois générations d’hommes : un petit garçon, un adolescent et un père, dont les aspirations ne sont pas les mêmes et se heurtent, évidemment, compte tenu de la difficulté de la vie quotidienne en Haïti. Le film est intégralement interprété en créole.

     

    Et il y a l’omniprésence des machettes. Des enfants aux vieillards, tout le monde en porte une, c’est un outil du quotidien. Mais lorsqu’il y a des tensions dans l’air, toutes ces machettes redeviennent des armes et font peur. Le film raconte cette tension croissante, au fil de la journée."

  • T.I.A. (THIS is Africa)

    Quand on danse dans les rues populaires et les marchés de Brazzaville, en République du Congo, on ne peut pas tricher...

     

    " Tu te dois tout ce que tu mérites... "

    Avec Aïpeur Foundou (chorégraphe et interprète) et Ella Ganga (narratrice).

     

    Produit par LaTortueNoire (2014)

    Réalisé et monté par Matthieu Maunier-Rossi

    Poème de Ronan Chéneau

    Assistant réalisation : Cléo Konongo

    Graphiste : Sylvain Franchet

    Mixage : Bridget O'Driscoll & Jérôme Wiciak

     

     

     

    Grand prix - Festival du film de Giverny, « Le monde de l’art »

    Grand prix du jury (ex-æquo) - DAN.CIN.FEST Short Dance Film Competition, à Saint-Étienne

    Premier prix - CineDanza, à Modène (Italie)

    Prix du public - Contact Dance Film Festival, à Portland (USA)
    Prix du public - RAKSA Ciné-Danse du monde, à Paris

    Prix du public (ex-æquo) - Screen Dance International, à Detroit (USA)
    Meilleur film, Prix du public et Meilleure photographie - Idaho ScreenDance Festival (USA)
    Meilleur film de fiction - Rethink Dance Festival, à Fargo (USA)
    Meilleur film (expérimental) - Fine Arts Film Festival, à Santa Barbara (USA)

    Meilleure performance - WebFest, à Rio de Janeiro (Brésil)
    Mention spéciale du jury - Festival International du film court de Grenoble

    Mention spéciale du jury - Festival Ciné Poème de Bezons

    Mention spéciale du jury - Festival Choreoscope de Barcelone (Espagne)

    Mention spéciale du jury - Festival Camara Corporizada, à Buenos Aires (Argentine)

     

     

    Autres festivals : ALLEMAGNE : Cologne (Moovy) ----- ANGLETERRE : Londres (Frame rush) ----- AUTRICHE : Graz (Dance on screen) - Spielboden Dornbirn ----- BELGIQUE : Namur (FIFF) ----- BRÉSIL : Curitiba (Mostra Solar) ----- BULGARIE : Varna (Moving Body) - Veliko Tarnovo - Sofia (IPFF Portrait) ----- CANADA : Vancouver (Cascadia) ----- CONGO-BRAZZAVILLE : Kombé (Boya Kobina) ----- CUBA : La Havane (VideoDanza) ----- ÉCOSSE : Perth (Screen.Dance) ----- ESPAGNE : Barcelone (Spring Dance) - Madrid (Fiver) ----- ÉTATS-UNIS : Ann Arbor - Los Angeles (Dance Cam West) - New York (Dance on camera @ Lincoln Center) - Rochester (Inspire Dance) - Raleigh (North Carolina FAD) - Raleigh (Rogue Dancer) - Greensboro - San Francisco (Dance Film fest) - Missoula (Kinetoscope) - Orem (Utah Dance) - Pasadena (Poetry Symposium) - Philadelphie (Opine) - Boulder (Sans Souci) - Seattle (Fuselage) - Seattle (Cadence Video Poetry) - Port Townsend - Washington (Capitol) - New Bedford / Jamestown / Boston (Kicking & Screening) - Iowa City (ScreenDance) - Dallas (Dance Film) - Houston (Reel Poetry) - Nouvelle Orléans (Second Line) ----- FRANCE : Nancy - Amiens - Blois - Tourtour ----- GRÈCE : Athènes (Video Dance Project) ----- IRLANDE : Tipperary (TDP) ----- ITALIE : Mestre (Venere in Teatro) - Trévise (Lago) - Vignola - Modène (Estivo) ----- LIBAN : Tyr (RAKSA) ----- MEXIQUE : Mexico City + Guadalajara + Mérida (City VideoDance) - Mexico City (Corriente Alterna) - Mexico City (Hélios Sun Poetry) ----- NORVÈGE : Trondheim (DansiT) ----- PORTUGAL : Lisbonne (InShadow) ----- ROUMANIE : Bucarest (BIDFF) ----- TURQUIE : Ankara (Solo Dans) ----- VENEZUELA : San Cristobal (CineArte en la Frontera)

     

     

    La version du film sous-titrée en anglais.

    La version du film sous-titrée en espagnol.

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    À l'initiative de la division "Fine & Performing Arts" du NYC Department of Correction, le film fait partie des programmes créatifs diffusés auprès des détenus des prisons de l'État de New York.

  • Extrait d'une interview pour le webzine Zeutch

     

    Matthieu Maunier-Rossi : "En octobre 2013, j’ai travaillé quelques semaines à Brazzaville. Les deux derniers jours avant mon retour à Paris, j’ai eu envie d'y tourner un film avec un jeune danseur congolais incroyable : Aïpeur Foundou. Lui et moi avons eu envie de confronter sa danse à la réalité de Brazzaville. Il y a sur place un vivier important de danseurs et de chorégraphes contemporains, une effervescence. Mais les Congolais n'y sont pas encore habitués, alors voir un danseur intervenir comme ça directement dans la rue, dans les marchés, on a fait sensation ! Aïpeur mélange danse contemporaine et des éléments de danses congolaises traditionnelles. On a imaginé le film, parcouru la ville pour trouver les décors et tout tourné en 48 heures chrono avec les moyens du bord. Je me suis délibérément placé loin de lui pour capter les réactions des gens autour, sans que la caméra ne soit tout de suite repérée.

     

    Le texte est un poème original que j’ai commandé à Ronan Chéneau, un dramaturge français qui était à Brazzaville au même moment que nous. On l’a enregistré sur place également. Ce thème de la liberté est venu des discussions que nous avons eues avec les différents artistes rencontrés en ville. C’est aussi pour ça que j’ai essayé de « coincer » Aïpeur dans le cadre, en resserrant l’image autour de lui, quitte à ce qu’il s’échappe parfois du cadre, qu'il déborde… Je voulais que l’on sente qu’il était contraint et qu’il tentait de se faire de la place par la danse… La jeune femme qui récite le texte s’appelle Ella Ganga, c’est une comédienne et une danseuse congolaise. Les phrases qui ne sont pas en français sont en lari, un des dialectes parlés à Brazzaville. Le fleuve que l'on voit dans le film est le Congo, l'entrée du "Cœur des Ténèbres" de Conrad. Nous avons tourné près des Cataractes, où des rochers affleurent, rendant le courant furieux et la navigation impossible. C'est ce qui a longtemps bloqué l'exploration du Congo au siècle dernier... Encore une fois, cette opposition visuelle entre liberté et oppression."

  • Une journée à Sengulam

    En 1988, à leur retour de Calcutta, deux disciples de Mère Teresa fondèrent à Sengulam, au Kerala, un Refuge de la Miséricorde. Ce hameau accueille les laissés-pour-compte de la région : orphelins et cadets, handicapés, épouses répudiées, mendiants et indigents de toutes origines… Dans le réconfort de cette communauté, ils aspirent à retrouver une vie sereine. Une journée après l’autre...

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    Produit par Back in Town et LaTortueNoire (2019)

    Images : Matthieu Maunier-Rossi

    Scénario et montage : Denis Camelin - Matthieu Maunier-Rossi

    Montage son et mixage : Aloyse Launay

     

    Ce film est un montage alternatif des images tournées pour le documentaire

    "Lettre à une absente", réalisé par Véronique Vertadier.

     

    Plus d'informations sur le Little Flower Mercy Home, ici.

     

     

    Meilleur court-métrage documentaire au festival FECIP, à Portoviejo (EQUATEUR)

    Meilleur montage (pour un documentaire court) au festival Tietê, à Sao Paolo (BRESIL)

     

    Festivals : BULGARIE : Sofia (IPFF Portrait) ----- ESPAGNE : Gérone ----- ÉTATS-UNIS : Erie (Great Lakes) - Los Angeles (FlickFair) ----- IRLANDE : Clones (Clones short fiction) ----- ITALIE : Rome (Cinema Doc) - Caserte (IntimaLente) ----- ROUMANIE : Bucarest (Short to the point) - Targu Mures (Rolling ideas) ----- RUSSIE : Saratov (Sufferings documentary)

  • Le contexte du film :

     

    En 2013, Véronique Vertadier, une documentariste vendéenne, m’a proposé d’être le caméraman d’un film qu’elle partait réaliser en Inde du sud, dans l’état du Kerala. Elle souhaitait retracer la vie de sa marraine qui, vingt-cinq ans plus tôt, avait quitté la France pour Calcutta, rejoint les Missionnaires de la Charité (l’organisation humanitaire de Mère Teresa) puis accompagné deux de ses disciples jusqu’à Sengulam, sur les contreforts des Ghats occidentaux, afin d’y fonder avec eux un foyer pour nécessiteux. Le foyer existe toujours, nous y avons passé deux semaines, partageant et documentant le quotidien des pensionnaires.

     

    A son retour, Véronique a entrepris le montage du film, se concentrant sur l’héritage humain et matériel laissé par sa marraine à Sengulam. Ce faisant, elle a dû choisir parmi presque quatre heures d’images. Ce film - « Lettre à une absente » - existe et a été programmé dans plusieurs festivals, et Véronique a l’impression d’avoir exprimé ce qui lui tenait à cœur.

     

    De mon côté, le temps passant, j’ai senti qu’il y avait certainement dans les images écartées par Véronique un autre sujet, différent de celui qui nous avait initialement amenés sur place. Alors, avec son accord, j’ai replongé dans ces rushes inédits, et j’en ai tiré un second film, « Une journée à Sengulam ». Il ne s’agit pas de traiter à nouveau de l’origine de ce lieu, mais plutôt d’aborder les émotions complexes qui y naissent chaque jour.

     

    Mon monteur - Denis Camelin - et moi avons dû travailler à l’envers. Généralement, le concept du film précède le tournage : on part tourner les images décrites dans le scénario et on adapte la mise en scène à l’idée que l’on se fait du futur film. Ici, c’est l’inverse : nous nous sommes trouvés face à un vaste corpus d’images préexistantes et il s’est agi de déterminer la meilleure structure narrative possible pour les tisser entre elles, tout en étant conscients que la manière dont elles ont été filmées ne nous permettait pas toutes les libertés.

     

    Ce nouveau montage raconte le cycle perpétuel des journées à Sengulam, teintées de foi et de pragmatisme, de dévotion et de fatalisme. Mais il y a aussi la permanence : une vie plus calme, sans tempêtes, pour les pensionnaires meurtris qui trouvent là un refuge et une communauté. Une journée après l'autre.

  • Little Ripon Nature Park

    "The only thing that is constant, is change."

     

    Depuis 1992, Derek O’Connor œuvre à la création d’un jardin botanique à Mile Gully, dans la paroisse de Manchester (Jamaïque). A la seule force de sa ténacité, il transforme des hectares de terres agricoles en un havre de paix : une retraite spirituelle.

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    Produit par LaTortueNoire (2014)

    Réalisé et monté par Matthieu Maunier-Rossi

  • Quelques Vagues, et l'Âme...

    On ne va jamais aussi loin que lorsqu'on ne sait pas où l'on va.

     

    " Pourquoi pas ? "

    Avec Lydie Melki & Manie Malone

     

    Produit par Yvon Crenn (YMC Productions, 2011) & Matthieu Maunier-Rossi

    Écrit et réalisé par Matthieu Maunier-Rossi

    Librement inspiré par les toiles de Anne B. Sollis

     

    Directeur de la photographie : Pol Gachon

    Assistante caméra : Aurélie Blin
    Lumière & machinerie : Xavier Allaire & Sylvia Rodrigues

    Assistante réalisation : Loredana Cochet

    Scripte : Chloé Mauduy

    Décoration : Thierry Michaud
    Storyboard et affiche : Yann Gausset
    Montage : Antoine Aubry - Matthieu Maunier-Rossi
    Mixage : Carl Goetgheluck
    Supervision de la post-production : Sylvain Franchet
    Costumes : Lyane Barnett

    Maquillages et coiffures : Magalie Dumas

    Produit par Yvon Crenn & Matthieu Maunier-Rossi
    Direction de production : David Crenn
    Régie : Elisa Touraine
     
     
     

    Prix de l’environnement - Festival Le Temps Presse, Paris
    Prix du jury - Festival Étang d’Arts, Marseille
    3e Prix du jury - Festival 7e Art du Lys, Dammarie-les-Lys
    Prix des lycéens - Festival Fenêtres sur Courts, Avignon

     

     

    Autres festivals : ANGLETERRE : île de Wight (IOWFF) ----- FRANCE : Grenoble - Contis - Lanton (Les Toiles de Mer) - Giverny (Le monde de l’art) - Paris (Festival Nouveaux Cinémas) ----- INDE : Al Jamia (LAAM Festival) ----- ROUMANIE : Bucarest (Rolling Ideas)

     

     

     

    Il existe une seconde porte d'entrée dans cette histoire :

    Avec Manie Malone

     

    Produit par LaTortueNoire (2012)

    Monté par Matthieu Maunier-Rossi

     

    « Quatre minutes avant la vague » est une expérience narrative, une extension du film « Quelques Vagues, et l’Âme », qui offre un autre regard sur ce personnage et ouvre un second point d’entrée dans ce film. Le rythme du souffle et de la solitude, l’hypnose des foulées, l’effort et cet état concentré et disponible qui va rendre le film possible sont portés par la musique de Nicolas de Zorzi. Et peu à peu, sur les pentes du volcan, arrivent les couleurs…

     

    Images Pol Gachon & Aurélie Blin

    Musique : « Mythology », de Nicolas de Zorzi (extrait de l’album « Clepsydre »)

  • De qui me moque-je ?

    Année de la Chine en France, année de la France en Chine...

    Qu'est-ce qui crée l'exotisme ?

     

    " Le patriarche transmet symboliquement la sagesse à son clan... "

    Avec José Garcia, Jacques Villeret,

    Julie Fournier, Jean-Claude Tran, Alexandre Martin-Varroy & Sifan Shao

     

    Produit par Yvon Crenn (YMC Productions, 2005)

    Écrit et réalisé par Matthieu Maunier-Rossi

    Directeur de la photographie : Thomas Brémond
    Équipe image : Eric Blanckaert & Virginie Leloup
    Ingénieur du son : Arnaud Julien
    Assistants réalisation : Denis Imbert & Julie Sayagh
    Scripte : Louise Arhex
    Maquillage : Thi Loan N'Guyen
    Costumes : Sandrine Bernard
    Décoration : Anna Goldszmidt
    Montage : Yorgos Lamprinos
    Musique originale : Matthieu Maunier-Rossi
     
     
     
    Festivals : FRANCE : Amiens - Palavas-les-Flots - Évreux - Paris (Festival de Paris-Bercy) - Basse-Terre, Guadeloupe ----- LUXEMBOURG : Festival de la Grande Région ----- QUÉBEC : Moncton (FICFA)
  • Contact

    Matthieu Maunier-Rossi

    LaTortueNoire@gmail.com